Il faut beaucoup nous aimer

…J’ai aimé farouchement mes semblables cette journée-là, bien au-delà du sacrifice.

…Il faut beaucoup nous aimer, cette fois encore, respirer plus fort que le poumon du bourreau.

 

René Char, Feuillets d’Hypnos 128 et 193

2017-01-30T11:38:39+00:00 novembre 17th, 2015|0 Comments

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